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La fonction du groupe dans la transe hypnotique. Gilles M. Ouimet. Article publié en 2017 dans le bulletin Hypnose Québec de la Société québécoise d’hypnose, volume 14, numéro 1, pages 2-5.

 

 

Dans l’hypnose, il y a le sujet, sa transe hypnotique et le facilitateur, ou accompagnateur, celui qu’on identifie comme l’intervenant ou l’hypnothérapeute. Mais il peut aussi y avoir le groupe de soutien. Le groupe qui protège. Ancestralement la tribu, le village, le conseil des sages, le chœur grec. Ce groupe peut former un cercle, au sens propre comme au figuré. Sa seule présence peut jouer une fonction essentielle dans la transe vécue par le sujet. Cette fonction est protectrice autant que structurante. Elle est réceptacle. Elle définit les contours spatio-temporels de l’expérience hypnotique. Elle sert de balises. Elle fixe les limites. Je fais ici la distinction entre l’hypnose de groupe et l’hypnose individuelle au sein d’un groupe dont les membres sont attentifs et supportants à l’expérience du sujet. Il y a présence. C’est symboliquement la présence d’une mère qui accueille et qui accompagne. C’est aussi symboliquement une présence paternelle qui autorise la transe, qui la confirme, qui la stimule. C’est enfin, toujours symboliquement, la fratrie qui vit avec. Cinq expériences sont ici décrites autour de deux types de difficultés : quatre situations d’anxiété de parler en public et une situation plus complexe d’intimidation, de harcèlement et de menaces d’enlèvement et de meurtre.

 

Dans le premier cas, il s’agit d’une femme qui vit plusieurs formes d’inhibitions, dont celle de parler en public, ce que ses activités exigent régulièrement d’elle. Il s’ensuit divers symptômes typiques d’anxiété. Nous avons ainsi le cycle suivant qui se répète sans fin : anxiété - inhibition - anxiété. Un travail psychanalytique préalable a permis de cerner la source de ces inhibitions et de cette anxiété. C’est l’histoire d’un petit enfant laissé à lui-même, mais tout de même doté d’assez de résilience pour se dire qu’il peut continuer seul sa vie. Des enfants sont capables de faire ça. Mais ils doivent souvent en payer un prix élevé. Celui de cette femme a été de la priver de plusieurs capacités. Elle a survécu au désinvestissement, résolue à ne compter désormais que sur elle-même, mais atrophiée de capacités qu’auraient dû lui transmettre les personnes qui l’avaient à charge.

 

Dans une séance effectuée en groupe pour elle, je lui avais d’abord demandé de me parler de ses difficultés. Elle rencontrait ce groupe pour la première fois et son malaise, quoique perceptible, n’était pas hors de contrôle. Le fait de me parler et d’entretenir une conversation avec moi seul avait pour but de lui permettre de moins ressentir la présence des autres personnes et de les maintenir psychiquement à une certaine distance, tout en s’acclimatant graduellement à eux comme nos yeux s’accommodent progressivement à la lumière ou à l’obscurité. À cette étape, je ne lui avais pas demandé de communiquer avec ces personnes, mais seulement avec moi, instaurant un espace privilégié et protégé nous englobant tous les deux. Dans la transe qui suivit avec elle, j’ai pu constater la mise en place progressive des manifestations physiologiques de l’état hypnotique. J’ai utilisé la métaphore d’un vêtement dont elle fait la découverte dans une forêt enchantée et dont elle s’empare pour le porter, se sentir plus forte et expérimenter le plaisir de cette force nouvelle.

 

Une fois sortie de transe, sa description du vécu correspondait à mes attentes de renforcement du moi. Je lui ai alors demandé de parler d’elle-même aux personnes réunies, de ses difficultés et du travail psychique auquel elle participait afin de déloger ces inhibitions. Il était assez frappant de constater l’aisance avec laquelle cette femme pouvait dès lors s’entretenir à propos  d’elle-même, de manière intime, à ces personnes, formant un groupe autour d’elle, et qu’elle rencontrait pour la première fois. Des échanges subséquents ont montré que cette capacité s’était quelque peu dissipée avec le temps, mais qu’elle pouvait être régénérée.

 

Dans une autre expérience, j’ai proposé à deux hommes, qui avaient aussi de la difficulté à s’exprimer en public dans le cadre de cours universitaires qu’ils suivaient, de participer à un essai de transe. Pour le premier, cette difficulté était de l’ordre d’un vague malaise somme toute pas très prononcé. En revanche, dans le deuxième cas, la difficulté pouvait culminer en une incapacité totale de parler. Les deux avaient des exposés à faire en classe. Comme ils avaient une difficulté similaire, quoique d’intensité différente, je leur ai offert d’expérimenter ensemble la technique de l’hypnose, ce qu’ils ont accepté. En transe, les deux sujets ont présenté des signes différents de l’état hypnotique. Dans le premier cas, la tête était lourde et les yeux se fermaient, mais à certains moments le sujet relevait la tête et rouvrait les yeux. Ceux-ci se refermaient petit à petit, puis se rouvraient. Dans le deuxième cas, la tête était lourde, les muscles faciaux détendus, le corps immobile et les paupières restaient fermées. Il leur a été suggéré qu’ils étaient détenteurs d’informations importantes qu’ils désiraient fortement communiquer et diffuser. Cette suggestion a été répétée avec des variantes, mais l’idée maîtresse était de ressentir un désir très intense de partager ces informations privilégiées.

 

À un moment, le premier sujet a ouvert tout grand les yeux, comme s’il voulait impérativement sortir de la transe. Puis, avec une fermeté dans le mouvement, il s’est levé et s’est dirigé vers la porte qu’il a ouverte et il est sorti. Inquiet, un participant du groupe l’a suivi pour se rendre compte que le sujet déambulait dans un couloir, comme s’il réfléchissait à quelque chose. Le participant est revenu m’informer à voix basse et je lui ai demandé de proposer au sujet de revenir dans la pièce. Ces événements se déroulaient tandis que je poursuivais le travail d’accompagnement avec le deuxième sujet. Au moment où le premier revenait s’asseoir, j’étais en train d’aider le second à quitter l’état de transe. Lorsque celui-ci commençait à ouvrir les yeux, le premier reprenait sa place, assis bien droit dans son fauteuil. Il était souriant. Il a posé un regard circulaire sur les membres du groupe assis autour de lui et, comme si cela allait de soi, s’est mis à leur parler, avec beaucoup d’assurance, des conflits politiques que traverse son pays d’origine.

 

Il va de soi que ce comportement était inattendu de notre part. Ce premier sujet paraissait en parfait contrôle de ses moyens, très à l’aise, très heureux de son expérience. Quant au deuxième sujet, il se sentait plus en confiance pour faire son prochain exposé. Un partage en groupe de ce sentiment d’être à l’aise pour parler en public a été discuté et la rencontre a pris fin.

 

Il arrive qu’on réagisse à retardement. Ce n’est qu’en fin de journée que j’ai compris l’erreur que j’avais commise. L’objectif visé par la suggestion portait sur la capacité à faire des exposés académiques en classe, mais j’avais suggéré quelque chose de plus large : ressentir l’intense désir de partager des informations importantes et s’autoriser à le faire. Ainsi donc, le premier sujet avait répondu intégralement à cette suggestion. Sans attendre son reste, métaphoriquement, il est sorti de scène, a été marcher dans les coulisses, a regagné la scène, a regardé avec confiance les spectateurs et leur a livré ces informations si importantes qu’il possédait et qu’il tenait tant à partager avec eux. Je me suis alors demandé s’il ne continuait pas encore à être dissocié. J’ai donc communiqué avec lui et nous sommes convenus d’un rendez-vous le lendemain. Lors de cette deuxième rencontre, ce sujet m’a expliqué qu’il avait passé une nuit étrange. En même temps qu’il sentait en lui une force et un désir de communiquer, il éprouvait une sorte de malaise d’avoir tenu son discours naturel de la veille. À ce moment, j’ai expliqué l’exercice que nous avions fait ensemble. J’ai décrit les objectifs que nous avions établis et les résultats spectaculaires que nous avions obtenus dans son cas considérant la nature de la suggestion. J’ai alors offert à ce sujet de se remettre en état de relaxation afin de, avec mon appui et mes suggestions, quitter pour de bon l’état résiduel de transe. Sa réponse spontanée fut sans équivoque : ces explications et la narration interprétative de ce qui s’était déroulé venaient de lui permettre de sortir définitivement son état hypnotique. Il serait exagéré de prétendre qu’il y était resté entièrement absorbé, mais il aurait été faux d’affirmer qu’il en était complètement dégagé. C’était un peu entre les deux. Après cet échange néanmoins, les perceptions du soi et du réel étaient entièrement rétablies. La vision était nette et non plus embrouillée.

 

Le quatrième cas est celui d’une femme qui a subi du harcèlement, de l’intimidation et des menaces d’enlèvement et de meurtre, dans un contexte où peu de personnes la croyaient et où peu de personnes cherchaient à la protéger. À l’époque de l’expérience hypnotique, elle était représentée par un avocat et des enquêteurs de la police avaient réussi à faire traduire en justice un contrevenant reconnu coupable et sentencié. Toute cette situation avait entraîné une angoisse marquée pour ses enfants et elle-même. Le fait qu’un contrevenant soit jeté en prison ne diminuait en rien cette angoisse car elle estimait qu’il pourrait dès lors chercher à se venger, directement ou indirectement, maintenant ou plus tard.

 

Dans son cas, les suggestions ont porté sur la construction d’un abri, comme un igloo, pour se protéger, elle et ses enfants, des dangers du monde extérieur. En même temps, les membres du groupe étaient assis en formant un petit cercle à une très grande proximité de cette personne et de moi, nous deux placés au centre de ce cercle, celui-ci produisant ainsi un pourtour bienveillant et protecteur. Un état compréhensible de vigilance chez cette femme lui faisait à certains moments garder les yeux entrouverts, mais le retour sur l’expérience a permis de confirmer qu’un degré élevé de détente avait été vécu et, sans pouvoir se l’expliquer, elle se percevait désormais plus forte pour faire face aux menaces qui persistaient.

 

Le dernier cas est celui d’une femme qui vivait une anxiété élevée de parler en public et qui se voyait contrainte de présenter sous peu une conférence à un congrès. Dans son cas, avec son consentement préalable, nous avons conjugué mise en scène et hypnose clinique en quatre temps. Dans le premier, je lui ai demandé de faire une présentation aux membres du groupe qui se montraient volontairement distraits et chahuteurs. Nul besoin de dire que l’anxiété a été ressentie immédiatement et intensément. Cet exercice, qui n’a duré que quelques minutes, a servi à mesurer le degré maximal d’anxiété. Ensuite, les participants se sont disposés autour d’elle, de moi, et d’une petite fille venue s’asseoir face à elle. Cette enfant avait vécu des événements tragiques desquels elle se relevait vaillamment. Dans des mots très simples, elle a expliqué à cette femme assise devant elle comment elle y était arrivée. Ce témoignage, qui n’a aussi duré que quelques minutes, était très émouvant pour cette femme comme pour les participants. Ces deux premières étapes visaient à préparer et favoriser l’état de dissociation en installant préalablement une confusion émotionnelle. Nous avons ensuite procédé à la transe hypnotique avec des suggestions de gagner de la confiance dans ses capacités au point de vouloir partager avec des congressistes le fruit de son travail. Dans le dernier temps, nous nous sommes placés, elle et moi, debouts devant les participants, eux assis comme dans une salle de congrès et nous avons joué au jeu de répéter à tour de rôle une phrase. Puis, nous avons ajouté, une à la fois, les informations à transmettre lors du congrès. Nous avons ensuite accéléré le débit de la présentation. Cette activité, très ludique, provoquant de multiples rires et applaudissements, s’est terminée au moment où cette femme était capable de faire sa présentation d’un trait et sans un seul degré d’anxiété. Nous étions ainsi passés d’une mesure du niveau d’anxiété de 10/10 à une mesure de 0/10. Lors de cette expérience particulière, où l’hypnose se mariait au théâtre et la mise en scène, les participants ont été amenés à jouer un rôle beaucoup plus actif que dans le cas des quatre autres situations cliniques.

 

Il importe de mentionner que, dans l’utilisation du groupe pour assister une transe hypnotique, tel qu’expérimenté dans ces cinq situations, trois conditions doivent être respectées. Si elles le sont, les bénéfices sont profondément ressentis par le sujet. Premièrement, ce dernier et son facilitateur/accompagnateur doivent être assis à proximité, soit face à face, soit à angle droit. J’ai souvent constaté que de murmurer à faible voix, toute proche de l’oreille du sujet, était très propice à induire la transe. Cela favorise un état de régression qui pourrait symboliquement rappeler la relation entre la mère et son bébé, lorsqu’elle le tient dans ses bras et peut lui susurrer des mots doux et affectueux ou tendrement chantonner une berceuse.

 

Deuxièmement, il est préférable que le groupe soit assis autour de l’espace qu’occupent le sujet et son facilitateur/accompagnateur. Ceux-ci sont donc spatialement placés au centre du groupe. Ce groupe se referme sur cette relation hypnotique et sa seule présence bienfaisante sert de support, d’accélérateur et d’intensificateur. En même temps, le groupe sert aussi de contrepoids et de facteur d’objectivité et de réalité face à la grande intimité qui se développe entre le sujet et son facilitateur/accompagnateur lors de la régression, et face au transfert émotionnel qui pourrait en résulter.

 

Troisièmement, il importe, au sortir de la transe, après que le sujet ait décrit son état ou son expérience vécue, que chaque participant s’exprime à son tour sur l’exercice. Le contenu peut varier : commenter le procédé, soutenir le sujet, l’encourager ou relater un événement personnel en lien avec la situation. Ce partage est essentiel à la réussite de l’activité clinique, sans lequel le sujet pourrait se sentir jugé tel un cobaye qui participerait à une expérimentation. Le fait que chaque participant prenne part à l’activité en témoignant d’une manière personnelle contribue à la potentialisation du bien-être éprouvé par le sujet.

 

Mais, plus que tout, c’est la présence des membres du groupe qui, selon mes observations, constitue l’élément le plus fondamental du vécu de la transe hypnotique. Il s’agit d’une présence bienveillante. Sauf lorsque je demande aux participants à la fin de la séance d’interagir, elle est silencieuse. Et cela lui donne plus de force et de caractère encore. Il m’arrive parfois de ressentir ce silence plein. Cette présence intense. Je peux m’arrêter de parler pour l’éprouver profondément. Immobiliser toute parole, tout mouvement, simplement pour goûter à cet espace rempli d’une présence et d’un silence presque sacrés. Une très belle scène du roman de Siri Hustvedt intitulé What I loved (1) décrit en ces termes la présence d’une grand-mère auprès d’un enfant qui dort. Elle est assise là. Elle le regarde dormir dans son petit lit. Elle veille. Elle est simplement présente.

 

Un patient m’a un jour raconté un rêve nocturne dans lequel il rentrait chez lui et découvrait sa maison cambriolée. Pris de panique, il avait appelé la police qui était arrivée rapidement sur les lieux. Toutefois, les policiers s’étaient mis à discuter de théories plutôt que de recueillir des indices du crime. Et le patient de conclure que, dans son rêve, même si l’échange avec les policiers était désagréable, leur seule présence lui permettait, petit à petit, de retrouver son calme et de contenir l’effroi et l’anxiété. Leur seule présence. Il y a assurément des présences de meilleure qualité que dans ce rêve, mais je dirais ceci : si une conversation désagréable permet de contenir l’émotion et de conduire à une quiétude, une présence pleine, accueillante, rassurante et protectrice d’un groupe ne peut-elle pas amplifier considérablement les effets curatifs d’une transe hypnotique ?

 

La composition du groupe qui saura répondre à ces conditions doit être le résultat d’une évaluation rigoureuse car chacun des membres devra, tel un musicien dans un orchestre, interpréter sa partition avec justesse et cohésion en regard de l’expérience dans son ensemble. Dans des milieux cliniques institutionnels, il peut être possible de proposer à des patients de participer à de telles expérimentations. Par exemple, dans des services hospitaliers d’oncologie, d’endocrinologie ou même de douleur chronique, il peut s’avérer facile de suggérer à des patients souffrant de problématiques similaires à celle d’un sujet de lui prêter main forte, d’autant plus que chacun d’eux pourrait bénéficier en retour du même soutien. Dans les cas où des cliniciens prodiguent des soins à des groupes (support, counselling, psychothérapie), la proposition s’en trouve facilitée. En pratique privée, si des activités se font en groupe, là encore, il peut être offert à des clients de contribuer à une intervention dans laquelle une technique d’hypnose serait utilisée avec un sujet. Il peut également être demandé à un patient de faire appel à des personnes de son entourage afin de composer le groupe qui l’accompagnera dans sa propre transe. Personnellement, ayant le privilège de donner des cours en psychologie, il m’est aussi possible, en plus de ces options et en accord avec le patient, de faire appel à des étudiants intéressés à collaborer à ce genre d’exercice. Avant d’y procéder, il va de soi, dans tous ces cas de figure, que le sujet concerné et les membres du groupe consentent de façon éclairée à respecter les conditions inhérentes à la situation clinique, incluant les règles déontologiques qui s’y appliquent.

 

Dans les semaines qui suivent une séance individuelle d’hypnose, si je revois la personne, je prête une attention particulière à ses propos portant sur les effets, à ce moment ultérieur, de la transe en comparaison de ceux au moment de la sortie de transe. Lorsqu’elle est individuelle, la réponse la plus fréquente est un amenuisement de ces effets avec le temps, phénomène léger ou prononcé selon les sujets. Lorsqu’il s’agit d’une expérience de groupe, au contraire, je remarque un meilleur maintien des effets. Les personnes en parlent comme si elles venaient de vivre l’expérience la veille. Il s’agit, bien entendu, d’une tendance. Je n’ai pas fait de recherche systématique sur ce sujet avec la rigueur méthodologique qui devrait s’imposer, mais l’hypothèse mérite d’être considérée.

 

(1) Hustvedt, S. (2003). What I loved. New York : Hodder & Stoughton.

 

 

Autres articles sur l’hypnose :

 

Ouimet, G.M. (2016). Une histoire de suggestion : le Paris-Dakar. Hypnose Québec, 13 (2), 5-6.

 

Ouimet, G.M. (2017). L’imaginaire du clinicien et sa capacité hypnotique. Hypnose Québec, 14 (2), 3-5.

 

Ouimet, G.M. (2018). Écritures et réécritures de soi : de l’état modifié de conscience au réaménagement de l’inconscient. Transes, 1 (3), 100-107.

 

Ouimet, G.M. (2019). L’utilisation de l’hypnose dans un cas de douleur chronique. Hypnose Québec, 16 (2), 3-5.

 

Ouimet, G.M. (2020). L’attitude hypnotique. Hypnose Québec, 17 (1), 3-5.

 

Ouimet, G.M. (2020). L’hypnose, c’est avant tout la relation. Hypnose Québec, 17 (2), 2-5.

 

Ouimet, G.M. (2022). L’hypnose ou l’expérience de la guérison. Hypnose Québec, 19 (1), 6-8.

 

Ouimet, G.M. (en préparation : 2023). L’hypnose ou l’expérience de la beauté. Hypnose Québec, 20 (1).

 

 

Atelier sur l’hypnose :

 

Ouimet, G.M., Douesnard, A. (2018). L’induction au service de la réparation et de la reconstruction psychique : convergences entre psychanalyse et hypnose. Atelier présenté au XXIe Congrès mondial d’hypnose médicale et clinique, Montréal.

 

 

 

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